Les pièces à télécharger (page 2)

Courrier de refus du service médiation d’ALLIANZ:

Cliquer pour télécharger le courrier de refus du service médiation d'ALLIANZ.

Les points forts :

  • On nous informe qu’en fait il n’y a pas de médiateur chez ALLIANZ mais une correspondante auprès du Médiateur des Assurances. Bien sûr elle ne revient pas sur le « médiateur » qu’on nous avait présenté ainsi !
  • Elle y décrit l’étude de notre dossier, on remarque que l’étude commence mal. La correspondante parle de présence d’eau dans différents puisards ! Cela sans étude semble normal ! Par contre on ne parle pas de la fosse à vidange remplie d’eau…
  • On nous signale qu’EUREXO déclare que le processus de dégradation est antérieur à la date d’effet du contrat ! Et l’expert déclare que l’eau provient de partout et nulle part… Extraordinaire, le droit à déclarer un sinistre quand on en prend connaissance n’est jamais accepté. C’est simplement une négation du Droit. On constate que cela avait bien inspiré l’Expert M. AD de CUNNINGHAM & LINDSEY.
  • Section suivante on parle de l’expert AD de CUNNINGHAM & LINDSEY justement qui y voit un problème de voisinage.
  • Nouvelle section où l’expert de CUNNINGHAM & LINDSEY revient sur le fait que nous ne sommes plus dans le conflit de voisinage ! Maintenant les dégâts sont antérieurs à la souscription du contrat… Mais alors le conflit de voisinage ne tient plus nous aurions à présent des dégâts ?
  • Et oui section précédente, nos préjudices concerneraient le précédent assureur ! Sauf que ce que fait le voisin nous n’en savons trop rien (le voisin aurait pu tout faire dans les normes par exemple !).
    Donc non, c’est juste l’artice L114 des assurances qui s’applique : c’est au moment de la prise de connaissance du sinistre que ça commence.
    En attendant on ne cherche plus à dire que nos problèmes sont faux !
  • La « correspondante » nous indique dans son courrier qu’ensuite ils ont tenté de nous apporter leur aide. C’est vrai qu’avant l’expertise de novembre (intoxication au monoxyde de carbone) c’est ce qui était alors convenu…
    Après on vous laisse juger de leur aide dans la section « Show Judiciaire ».
  • Ensuite, la correspondante trouve que les experts ont des conclusions concordantes : EUREXO : dégats des eaux sans responsabilité, première expertise CUNNINGHAM & LINDSEY pas de problème c’est surtout un conflit de voisinage, deuxième expertise CUNNINGHAM & LINDSEY nos problèmes de marbre, avec la maison qui bouge et le plafond qui tombe sont le résultat d’une sécheresse par exemple. Expertise ELEX (4ème) : juste un problème de capillarité de la fosse à vidange et une poutre qui s’est affaissée mais on attend la géologie !
    Tout le monde peut juger de la concordance des conclusions.
  • Mme MC notre correspondante médiation conclue que puisque l’on ne sait pas d’oû proviennent tout nos sinistres alors on ne peut pas être pris en charge.
  • L’analyse de géologie n’est pas acceptée, bien sûr !

En conclusion :

Nous attendons un verdict d’une expertise judiciaire dans laquelle ALLIANZ a pesé de tout son poids pour nous aider (c’est dans le courrier je n’invente rien). Les expertises divergentes des experts d’ALLIANZ qui ne parviennent pas à identifier nos problèmes sont jugées concordantes et conduisent au rejet de notre prise en charge. Pour terminer les expertises des autres experts ne méritent même pas le moindre crédit (dénigrement non ?). Enfin et ce n’est pas des moindres, on ne nous explique pas pourquoi la maison qui a tenu 30 ans sans bouger a attendu notre déclaration de sinistre pour s’affaisser. Pourquoi un chauffage qui a bien marché pendant 3 ans rend plausible que cela provienne d’un conduit inadapté plutôt que de la maison qui a bougé au moment où le tuyau s’est descellé…

 

Le rapport de l’expert PS de la société ELEX approuvé par l’inspecteur ALLIANZ sur la contre expertise de l’expert CUNNINGHAM & LINDSEY et de l’inspectrice ALLIANZ précédente :

Cliquer pour télécharger le rapport de l'expert ELEX.

Les points forts :

  • L’expert déclare ce qu’il s’est passé entre moi et l’Huissier de justice en son absence. A part s’il dispose d’un « pouvoir paranormal » nul ne peut expliquer cela. Aller voir le rapport d’Huissier pour en confronter le contenu :roll:.
  • L’expert voit bien le colorant dans le film confirmer nos propos sur la captation des ruissellements par la construction voisine mais il va nier que l’eau suit les pentes une fois arrivée sur les marches. Sa capacité d’expertise s’arrête là.
  • L’expert constate que notre chauffage est défaillant et dangereux. Il n’invite pas à prendre des mesures de protection à notre égard. Nous sommes en novembre 2011, soit on se chauffe soit on choisit le monoxyde de carbone. Par ailleurs, l’expert déclare que l’installation serait dangereuse et que ce serait là la raison de son dysfonctionnement soudain (après 3 ans de bons et loyaux services) et sans rapport avec la maison qui a bougé en mai 2011.
  • Pour l’expert la fosse à vidange a juste un problème de remontées capillaires alors que nous sommes en période de sécheresse, aucun étonnement n’est présent dans l’expertise. Il met nos propos en doute sur le fait qu’avant notre déclaration nous n’en subissions pas et surtout il force l’amalgame en déclarant qu’avant mai 2010 date de la déclaration cela ne se produisait pas. Nous n’utilisions plus la fosse à vidange depuis 2007 c’est avant 2007 que nous n’avions pas ces problèmes (construction voisine en 2006 et changement des terres entre 2006 et au moins 2010). Notre ancien propriétaire a par ailleurs témoigné que la fosse à vidange n’avait pas ce type de problème.
  • L’expert relève une nouvelle fissure mais il ne traduira pas cela comme un nouveau signe de la réalité de nos propos. Il constate qu’une poutre de plancher s’est affaissée (« légèrement » attention). Il conclura son expertise (novembre 2011) en affirmant que rien ne montre un problème de stabilité de la maison… Pour cela il se base sur le rapport de LAMY daté du 23 février 2011 qui date d’avant l’affaissement de mai 2011 et qui se terminait sur ce constat mais réclamait la prise de mesure conservatoire pour protéger le bien.
  • L’expert n’évoque pas dans son expertise la menace de risque pénal que nous pourrions encourir sur le film alors qu’il semblait très sûr de lui avec l’inspecteur sur ce point.

En conclusion :

Il faut savoir qu’en début de cette expertise l’inspecteur d’ALLIANZ avant de commencer nous dira qu’il est là pour confirmer le travail de l’inspecteur précédent et de l’expert de CUNNINGHAM & LINDSEY (voir pièce suivante).
L’expert en bâtiment M.PS le film voit que nous avions raison sur la construction voisine contrairement aux affirmations de l’expert précédent mais il ne le mentionne pas. L’expert semble vouloir minimiser le rôle de l’Huissier de justice et se permet de parler d’événements auxquels il n’a pas assisté. Cela est pour nous un bon témoignage de la véracité du contenu de l’expertise.
Ensuite, l’expert déclare qu’il n’y a pas de problème de stabilité du bien en s’appuyant sur une expertise de LAMY qui date d’avant affaissement dans laquelle il était demandé de le protéger. L’affaissement et l’apparition de nouvelles fissures sont donc sans rapport avec la stabilité de la maison…
Pour terminer, l’expert souhaite accuser l’installation du chauffage. Dans son expertise, il est mentionné que c’est l’installation qui est dangereuse. En attendant l’installation a parfaitement fonctionné pendant 3 ans avant que la maison ne bouge. Là encore il ne faut pas y voir le moindre rapport (!). Pour conclure aucune mesure de protection n’est prise à notre égard pour nous protéger du froid ou du monoxyde de carbone (non assistance à personne en danger non ?).

 

Contestation du déroulement de l’expertise ELEX / ALLIANZ du 9 novembre 2011 :

Cliquer pour télécharger le mail de contestation sur l'expertise ELEX.

Les points forts :

  • Nous mentionnons qu’avant de débuter l’expertise l’inspecteur manifestait déjà de défendre le travail de Mme CB Inspectrice d’ALLIANZ qui nous a opposé un refus de prise en charge. Partant de là il semble que l’on puisse douter de l’objectivité et des objectifs que va souhaiter vouloir atteindre le tandem expert/inspecteur missionné par ALLIANZ.
  • On peut voir que suite aux dysfonctionnement du poêle nous avons dû poursuivre l’expertise dehors, ce qui prouve déjà le dysfonctionnement majeur qui ne nous aurait pas permis de l’utiliser pendant 3 ans s’il avait été mal installé !
  • L’Huissier était bien présent et n’est pas si vite parti… et nous l’avons signalé dans ce mail qui date du jour de l’expertise sans avoir pu prendre connaissance du rapport de l’expert d’ELEX.

En conclusion :

L’expertise de novembre était à la fois une réponse à notre demande d’aide pour notre expertise judiciaire et une contre-expertise. Vu son déroulement, sans avoir le rapport nous savions suite aux propos de l’inspecteur à quoi nous attendre, il n’était plus question de faire intervenir ALLIANZ à l’expertise judiciaire. Ce mail est envoyé quelques instants après le départ de l’inspecteur car nous aurons été choqués de voir qu’il n’y a manifestement pas de place pour l’objectivité et le dialogue. Si nous avions su nous n’aurions pas payé et dérangé les experts LAMY qui ne pouvaient rien faire étant donné que tout était déjà scellé.
Dernier BONUS ce mail est envoyé à la personne qu’on nous a présentée comme médiateur de notre dossier alors qu’il n’en est rien ! Ce mail atteste une nouvelle fois de l’importance du rôle qui lui avait été attribué.

 

Attestation du médecin sur l’exposition au monoxyde de carbone :

Cliquer pour télécharger le certificat médical sur l'intoxication au monoxyde de carbone.

Le point fort :

  • Nous ferons faire une prise de sang et la présence de monoxyde de carbone sera confirmée. Il s’agit là de l’attestation du médecin.

En conclusion :

Pour éviter tout doute, bien que l’alarme au monoxyde de carbone se soit déclenchée (merci mon fils pour cet investissement !), nous avons choisi de faire un contrôle médical pour attester de la véracité de nos déclarations. Cela montre à quel point nous savons que tout est toujours mis en doute…